En guise de conclusion,
nous dirons que ces miscellanées jettent une nouvelle lumière sur plusieurs
aspects du dernier Flaubert, et en particulier sur le problème du
non-mouvement du récit, du rapport récit-discours, de l’épistémologie, de
l’ironie. Nous ajouterons que l’exposition est claire, rigoureuse le plus
souvent, quelquefois prolixe. Nous conclurons en invitant les spécialistes à
lire cet ouvrage qui mérite d´entrer dans toutes les bibliothèques
spécialisées. (Bernard
Gallina : Studi Francesi. Le compte rendu ci-joint a paru dans le n. 1 du t. 34 (1990))
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